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Podcast #CulturesKarnott n°10 partie 2 : De la confiance et du temps de gagné !

Samuel Barbier, président, David Leroy, vice-président et Stéphane Rosselin, trésorier de la CUMA Concorde (35) nous expliquent ce que Karnott leur a apporté suite à la facturation et pourquoi ils ne peuvent plus s'en passer.

Écoutez sans attendre la 2ème partie de notre dixième épisode !

 

Dans ce nouvel épisode, nous retrouvons Samuel Barbier, Stéphane Rosselin et David Leroy de la CUMA Concorde en Ille-et-Vilaine.

La dernière fois que nous avons échangé, c’était déjà dans le cadre de la première partie de ce podcast sorti en février 2024. Ils étaient déjà tous les 3 et utilisaient Karnott depuis seulement 2 mois. Nous avions parlé mise en route, paramétrage et conseils sur l’import des parcellaires.
A l’heure de cet enregistrement, ils sont utilisateurs depuis 8 mois, ce qui leur a permis de prendre du recul sur ce que la solution leur a apporté mais aussi d’aller plus loin : de faire la facturation par exemple. C’est ce dont nous allons parler aujourd’hui, bonne écoute !

« L'investissement Karnott, il faut le compter par le temps gagné, la fiabilité et les surfaces calculées plus justes, ça s’amortit très très bien. »

Bonjour à vous 3. Merci de vous être encore une fois rendu disponibles pour qu’on puisse faire le bilan de vos 8 premiers mois d’utilisation. Pour commencer, est ce que vous pouvez vous représenter rapidement pour qu’on se remette dans le contexte ? 

Bonjour, moi c’est Samuel Barbier, le président de la CUMA Concorde Quédillac, Stéphane Rosselin le trésorier et David Leroy le vice-président. On a démarré cette année avec les Karnott. On a démarré avec directement 15 Karnott pour 40/45 adhérents. Principalement pour les relevés, pour être sûrs des relevés, pour être plus stricts aussi, un petit peu. 

Et suite aux 8 premiers mois d’utilisation, est-ce que Karnott a bien enregistré tous vos travaux ?

Bah oui, c’est bien remonté. Je pense que tous les 3 on regarde de temps en temps. Les adhérents, je dirais que plus de la moitié regardent aussi ce qu'ils ont fait je pense. Oh ouais, je dirais plus de la moitié. Ils vérifient eux-mêmes leurs surfaces aussi, plus ou moins. 

Et est-ce que tout se passe bien au niveau de la lecture de données, est-ce que vous retrouvez facilement ce que vous souhaitez consulter ? 

Ouais, c’était assez simple parce que les remontées sont affectées à chaque exploitation et s’il y en a une qui n’est pas affectée, ça nous met “CUMA La Concorde” donc on sait si ça marche ou si ça marche pas ou si le matériel est dans la bonne parcelle on va dire. On a pas eu de problèmes de surface non plus à la parcelle, je pense pas : quand on recroise avec la PAC, ça colle. 

Est-ce que vous avez trouvé des différences plus ou moins significatives avec les données de l’année dernière ou des autres années ? 

Alors notamment sur les outils de travail du sol qui sont calculés avec du recroisement. Globalement, on trouve 10% de surface en plus, ce qui est cohérent puisque l’outil compte les redoublements. Ce qu’on a fait pour rester équitables vis-à-vis des adhérents, c’est qu’on a baissé le tarif de 10%, comme ça, les adhérents, ça ne leur coûte pas plus cher. Et concernant tout ce qui est outils à la surface PAC, sans recroisements, type fenaison et les semis, on trouve des surfaces quasi identiques. Peut-être à 10 ares près par rapport aux surfaces PAC. Donc c’est beaucoup plus juste en terme de facturation que ce qu’on faisait avant parce que là, le redoublement n’est pas compté.

« Je pense que maintenant on va pouvoir abandonner le relevé.

À partir du moment où une surface est affectée à une exploitation, on fait confiance. Après, ça roule tout seul hein ! »


Ok super. Et vous disiez la dernière fois que Karnott évitait aux adhérents de devoir faire leurs relevés après chaque intervention. Est-ce qu’il y a encore des carnets de relevés ou c’est terminé maintenant ? 

Première facturation, on a fait relever quand même, le temps de prendre confiance dans le système. Mais je pense que maintenant on va pouvoir abandonner le relevé. À partir du moment où une surface est affectée à une exploitation, on fait confiance. Après, ça roule tout seul hein !
Il n’y a plus de relevés compteurs, par contre on a gardé le carnet pour conserver au moins l’ordre de passage des adhérents. C’est à dire que tu mets ton nom, ta date, ta surface estimée, comme ça, en cas de gros bug informatique, on a au moins toujours un suivi papier quoi. 

Est-ce que du coup tout le monde était ok avec les données ? Vous me dites que des adhérents se connectent etc… Ils n’ont rien eu à redire ? 

Et ben on a eu personne à se plaindre, donc ça veut dire que tout le monde était ok ! Des gens contents on en a jamais !

Ouais, c’est ça, ils ne le disent pas.

Par contre, on a pas de mécontents.

« Première facturation qu’on a fait, [...] on a passé un petit peu de temps, la deuxième a été extrêmement rapide et là on s’apprête à faire la troisième début décembre qui va être encore plus rapide. [...] On fait totale confiance au tableau quoi. »

Comment est-ce que vous avez procédé sur la facturation ? 

Par le passé c’était ça : chaque responsable de matériel relevait le matériel, le redonnait à notre trésorier qui lui le relevait sur une feuille qu’on scannait et qu’on envoyait à la comptable.
On a fait 2 facturations depuis. Ce qu’on fait : à partir du tableau des rapports, on relève notre période, les matériels concernés et on fait un export excel. Et ce tableau, on l’envoie à la comptable directement et c’est elle qui saisit. Donc ça fait moins de travail pour moi en fait. 
Avec l’extraction excel, on a pas beaucoup de retraitements à faire. L’idéal serait d’avoir une extraction PDF comme ça,  il n'y aurait plus rien à faire. Les données arrivent en brut dans Excel et on est obligé de retravailler le tableau un petit peu mais la combin’, une fois qu’on l’a, est assez simple donc ça se fait très rapidement. “C’est David l’expert”. 
Juste avant la facturation en générale on se voit pour les petites surfaces, quand on traverse une surface de quelqu’un d’autre… Ça c’est des choses qui peuvent arriver quand on a un outil qui va manoeuvrer dans la parcelle d’un autre. Donc ça, il suffit de nettoyer une fois de temps en temps sur le rapport de l’outil puis on arrive à tenir ça propre après.


Donc vous faites votre export excel, vous faites le petit tableau pour que ce soit bien lisible et vous envoyez à la compta ? 

Voilà, y’a juste nos petites histoires de manoeuvres dans le clos du voisin qu’il faut nettoyer mais là, la CUMA, je regardais ça sur Karnott l’autre jour, on survole quand même 3350 hectares je crois. S’il y a admettons 10 petites choses à nettoyer, sur la surface totale, ça ne représente pas beaucoup ! Avant d’enregistrer tous les fichiers comme ça, et d’accumuler la surface, même nous on se rendait pas compte de la surface sur laquelle la CUMA pouvait travailler quoi.

Et est-ce que vous savez dire combien de temps vous gagnez sur une facturation comme ça ? 

Sur les relevés c’est clair qu’il y a un bon gain de temps quand même quoi. Y’a plus d’erreurs, c’est plus fiable. Je pense qu’à terme, oui, on gagnera encore plus de temps. 

Premier relevé, première facturation qu’on a fait, comme on s’est cherché un peu sur la partie excel, on a passé un petit peu de temps, la deuxième a été extrêmement rapide et là on s’apprête à faire la troisième début décembre qui va être encore plus rapide. Là, y’aura plus qu’à sortir le tableau. On fait totale confiance au tableau quoi. Les appréhensions du début et puis “Est-ce que ça relève bien”, revérifier les surfaces et tout ça, on s’en occupe plus.

« Maintenant, on sait que toutes les remontées d’informations sont fiables, on sait qu’on gagne niveau administratif énormément de temps donc pour transformer l’essai, aller encore 5 / 6 Karnott et on va être au complet. »


Vous avez fait une partie de la facturation avec 2 fois. Il vous reste décembre à faire, est ce que vous pensez avoir besoin d’étendre encore Karnott sur la CUMA ?

C’est le but ! Sincèrement oui hein ! Petit à petit, on va y aller pour avoir de moins en moins de travail administratif à faire. On va sans doute équiper remorque/plateau déjà. Maintenant, on sait que toutes les remontées d’informations sont fiables, on sait qu’on gagne niveau administratif énormément de temps donc pour transformer l’essai, aller encore 5 / 6 Karnott et on va être au complet. Puisqu’on en a même posé un sur une épareuse avec un capteur. Là, il va falloir qu’on compare les relevés entre le compteur initial de la machine et Karnott pour voir, parce que si ça fonctionne comme ça, on y touchera plus.

« Suite à la mise en place de Karnott, on a mis au point un tableur au sein de la CUMA qui nous permet de calculer nos coûts de revient indirectement, [...] maintenant on arrive même à faire des prévisions de tarifs. »


De 0 à 10, aujourd’hui, votre satisfaction de Karnott, en sachant que la dernière fois vous aviez mis 8, où vous en êtes ? 

On va rester sur un 8 je pense. On passera à 9 quand on pourra faire l’extraction PDF. 
Non, non, et puis on peut pas mettre 10, c’est comme les enfants, faut toujours laisser une marge de progression.
En fait l’idéal, ce serait de pouvoir exporter le tableau sans avoir à le retravailler. Et d’ailleurs, suite à la mise en place de Karnott, on a mis au point un tableur au sein de la CUMA qui nous permet de calculer nos coûts de revient indirectement et calculer le tarif qu’il faudrait facturer et comparer au tarif qu’on facture parce que maintenant on arrive même à faire des prévisions de tarifs.

Et si on parle retour sur investissement ? 

L'investissement Karnott, il faut le compter par le temps gagné et la fiabilité et les surfaces calculées plus justes, ça s’amortit très très bien. Non donc nous on va petit à petit compléter notre flotte. Oh l’idée c’est en gros de négocier un compteur à chaque fois qu’on va acheter un outil donc… ! 🙂

Écoutez, c’est beaucoup de positif, c’est super, merci beaucoup d’avoir pris le temps encore une fois. Eh bien écoutez, bonne journée ! 

A bientôt ! 

Voilà un retour d’expérience qui fait plaisir à entendre ! Quoi de mieux pour terminer que de citer Mr Leroy : “L'investissement Karnott, il faut le compter par le temps gagné et la fiabilité, les surfaces calculées plus justes, ça s’amortit très bien” 
Si vous êtes passé à côté du 1er épisode, n'hésitez pas à l’écouter ou à le réécouter ! A très vite !

À propos du podcast #CulturesKarnott : Servane - coach Karnott - présente le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectées. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.


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