Guillaume et Sylvain (responsable et président de CUMA) témoignent de leur usage Karnott. La taille, le lieu et l'activité de leur CUMA diffèrent totalement et pourtant, on retrouve de nombreuses similitudes dans leurs discours. Découvrons les ensemble !
Dans cet épisode hors série spécial été, nous vous proposons deux formats courts. Écoutons Guillaume et Sylvain, responsable et président de CUMA. La taille des CUMA diffère mais vous verrez que l'usage et les bénéfices de Karnott restent les mêmes. Karnott les aide dans leur prise de décision, leur a apporté de la sérénité et surtout leur a fait gagner un temps précieux à la clôture de l'exercice. C'est parti !
Pouvez-vous me présenter votre exploitation, la Cuma, votre secteur d'activité et vos équipements KARNOTT ?
Chez nous, ce sont des exploitations de lait, de porc et de cultures. Nous sommes en CUMA avec une autre exploitation qui a la même activité (porcs et méthanisation). Il y a environ 700 hectares tout compris à la CUMA. Nous utilisons Karnott sur tous les matériels présents sur la CUMA. Nous avons 10 Karnott et 10 Karnott Outil. Pas de Karnott Chauffeur car nous n’en avons pas l’utilité.
Avant, on passait beaucoup de temps à relever tous les carnets. On se répartissait les carnets entre nous, on était plusieurs personnes à s’en occuper. Là maintenant en quelques heures et avec une seule personne c'est fait !
C'était surtout d’éviter les loupés sur les notations dans les carnets. Puisqu’il y avait des carnets dans tous les tracteurs et dans tous les outils. Et donc l'avantage c'est l'automatisation de l'enregistrement. À la clôture d'exercice, ça nous permet d'avoir un relevé plus précis et puis plus rapide aussi. C’est plus rapide que de relever tous les carnets, là on fait un check-up sur l'informatique. En peu de temps c'est fait !
Avant, on passait beaucoup de temps à relever tous les carnets. On se répartissait les carnets entre nous, on était plusieurs personnes à s’en occuper. Là maintenant en quelques heures et avec une seule personne c'est fait !
L'avantage c'est qu'on peut se pencher dessus un peu tous les jours ou toutes les semaines. Ça permet de faire ça à la régulière pour pas qu'il y ait trop de boulot à la fin. Tandis qu'avant il fallait prendre tous les carnets les uns après les autres.
Le retour on l’a ! Il n’est pas calculable ou palpable sur le moment mais sur le long terme on le voit bien.
Pour compléter ça reste un très bel outil de gestion et on gagne aussi en sérénité. C’est un outil de pilotage, de gestion, de tout quoi ! Même financier ! L’investissement Karnott, ça a un coût mais on a le retour sans problème. Même d'aide à l'investissement. Il ne faut pas que ça reste un frein moteur pour le développement d'une exploitation, d’une Cuma ou d’une ETA.
Le retour on l’a ! Il n’est pas calculable ou palpable sur le moment mais sur le long terme on le voit bien. La sérénité autour de ça quoi !
On n'a pas besoin de se demander “est-ce qu'ils ont noté, pas noté ?”. Là au moins, c’est noté. Personne ne va contester !
Aujourd'hui avec Karnott, en une grosse journée, un jour et demi j'ai tout synthétisé et c'est prêt pour partir à la facturation.
Bonjour, je vais vous laisser vous présenter, me dire qui vous êtes, ce que vous faites et quelle est votre activité principale ?
Bonjour je suis Sylvain, exploitant dans le nord du Vaucluse, également président de la CUMA de Crochant. On est essentiellement sur de la grande culture donc : légumes de plein champ et céréales. On a un peu de vignes également mais très peu donc surtout grandes cultures. On a beaucoup de matériels en commun par le biais de la Cuma pour le travail du sol, les semis, les traitements et les traitements et l’épandage d’engrais.
Karnott a ramené de la confiance dans la CUMA puisque les adhérents savent que la facturation correspond réellement à l'utilisation et que c'est plus juste.
Au départ, qu'est-ce qui vous a motivé à prendre la solution Karnott, quel était en fait le besoin ou le manque que vous ressentiez au sein de la Cuma ?
En fait, on s'est orienté sur Karnott pour arriver à mieux suivre le matériel, être plus rigoureux sur la facturation et mieux répercuter l'entretien en fonction de l'utilisation, que ce soit bien corrélé. Et faire en sorte qu’il n’y ait pas d’interventions qui échappent à la comptabilité, puisque c'était compliqué sur l'année entière de ne rien perdre. Du coup ça a ramené de la confiance dans la CUMA puisque les adhérents savent que la facturation correspond réellement à l'utilisation et que c'est plus juste. C’est pour cela qu’on s’est orienté vers Karnott.
Moi aussi à titre personnel, c’est plus pour la gestion et tout le côté facturation qui me demandait, on va dire une bonne semaine de dépouillement des carnets sur lesquels on pointait les heures des matériels et des tracteurs. Aujourd'hui avec Karnott, en une grosse journée, un jour et demi j'ai tout synthétisé et c'est prêt pour partir à la facturation.
Juste pour remettre dans le contexte, vous êtes combien d’adhérents dans la CUMA, combien avez-vous de compteurs Kantot et qu'est-ce que vous utilisiez avant pour relever les heures ?
Avant il y avait un carnet dans chaque tracteur pour le matériel traîné ou attelé qui était emprunté. Chaque fois qu'un adhérent prenait le matériel, il notait à la main dans le carnet et moi je dépouillais chaque page. Donc tel jour tel tracteur et tel outil sur telle exploitation. Aujourd'hui avec les Karnott ça se fait automatiquement. Il y a 16 adhérents et il y a 10 Karnott. Maintenant en une journée et demie, je pointe tout, je vérifie qu’il n’y a pas d'anomalie majeure. Ça me permet tout de suite de synthétiser alors qu’avec les carnets à l'époque je dépouillais les carnets des cinq tracteurs et donc je faisais les cumuls des carnets car parfois il pouvait y avoir deux ou trois carnets pour un tracteur et des fois deux à trois carnets sur l'année ça demandait énormément de temps à dépouiller, à synthétiser. Avec Karnott, il y a un travail de vérification mais qui est relativement simple et rapide et qui permet en plus d'avoir des bilans qui sont plus cohérents avec la réalité. Avec le porte-caisson en l'occurrence on pensait faire 1500 kilomètres par an et en fait là depuis qu'on a le Karnott on se rend compte qu'on fait plus 5000 kilomètres par an. Ça démontre bien que la saisie manuelle qu'on avait avant elle était incertaine, pas très précise.
Vous parlez du porte-caisson, est-ce qu'il y a d'autres matériels sur lesquels vous avez relevé des différences significatives ?
Oui, sur le déchaumeur quand j'ai fait le bilan l'année dernière, on s’est aperçu qu'on avait fait 650 hectares avec, personne ne pensait qu’on avait fait autant de surface. Quand je regarde les années précédentes, on était à 400 hectares, donc des hectares étaient perdus et aujourd’hui avec le Karnott rien n’échappe à la facturation, c’est juste, tout le monde s’y retrouve. C’est plus juste et plus clair et ça inspire plus confiance.
Tout ça est très bien perçu par les adhérents ?
Tout à fait, ça en rassure même certains qui a un moment donné craignaient que les choses ne soient pas bien facturées ou se posaient des questions. Est-ce que celui qui s’en sert beaucoup a tout bien marqué ? Est-ce que je vais payer plus d’entretien alors que je l’ai moins utilisé réellement ? Au moins maintenant c’est clair et transparent, tout le monde à l’accès. Ça permet de localiser l’outil quand les adhérents cherchent l’outil avec l’app pour ceux qui l’ont téléchargée, ils ont accès à la géolocalisation en temps réel et c’est commode sur ce point-là.
Un grand merci pour ce retour très précieux et d'avoir pris le temps d'échanger !
À propos du podcast #CulturesKarnott : Les coachs client Karnott présentent le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectée. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.
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