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Podcast #CulturesKarnott n°1 : des relevés de travaux au coin de la cheminée

Jérôme, trésorier d'une cuma en Lozère, nous explique comment Karnott a trouvé sa place dans leur organisation, avec à la clé une facturation plus juste pour les adhérents.

Ecoutez sans attendre notre premier épisode ! 

 

Dans cet épisode, nous échangeons avec un trésorier de Cuma à l'accent chantant. Pour lui Karnott a trouvé sa place dans la cuma grâce à une gestion carrée et quotidienne et a permis, parmi d'autres choses, une facturation plus juste entre l'ensemble des adhérents.

Jérôme, qui êtes-vous et décrivez-nous un peu votre Cuma ? 

Je m'appelle Jérôme, je suis le trésorier de la Cuma Cantonale de Grandrieu, qui se situe en Lozère. Actuellement nous avons à peu près 140 adhérent au niveau de la Cuma et nous avons une flotte de neuf compteurs connectés Karnott.

Qu'est-ce qui vous a décidé à vous équiper de Karnott ?

Avant Karnott,  on avait des compteurs d’heures à vibrations sur la Cuma, on avait aussi des compteurs d'hectares sur des faucheuses qui se déclenchaient par un système de roue et des compteurs kilométriques qui comptaient des unités, mais qui ne correspondaient plus du tout à l’attente de la Cuma. C'est pour être plus précis que nous avons essayé Karnott, pour calculer nos surfaces à l'hectare et nos heures réelles travaillées ; et on s'est rendu compte qu'il y avait énormément d'écarts avec la pratique des compteurs d'avant et ce que relève maintenant Karnott ! On a donc équipé notre parc de 6 faucheuses de Karnott. A voir ensuite si c'est assez précis pour nos épandeurs à fumier.

En plus, avec l'ancienne méthode, on avait des cahiers à disposition avec des portes cahiers sur tous les outils, l'adhérent relevait le compteur début, le compteur fin et marquait son nom et signait en face. Avec des gros problèmes d'humidité - dûs à la météo -  sur ces anciens boîtiers, même malgré s'ils étaient étanches, plus des gros problèmes pour relever les cahiers, les cahiers qui disparaissaient, tout un tas de choses... 

« C'est pour être plus précis que nous avons essayé Karnott, pour calculer nos surfaces à l'hectare et nos heures réelles travaillées ; et on s'est rendu compte qu'il y avait énormément d'écarts avec la pratique des compteurs d'avant et ce que relève maintenant Karnott ! »

Comment s'est passé la prise en main de Karnott ? 

Alors la prise en main a été assez rapide, on a eu les formations téléphoniques mises en place par vous, pour pouvoir piloter dès le départ. Et après je dirais qu'il faut compter à peu près entre trois et quatre mois pour bien piloter l'outil. Par téléphone moi c'est quelque chose que je fais quotidiennement, voilà c'est très simple, c'était très intuitif.

Sur la Cuma on est cinq à avoir l'application Karnott, où on peut avoir accès à tous les compteurs Karnott. Il y a deux personnes qui font les relevés, tout ce qui est pour la facturation, notamment sur ordinateur. Il y en a deux qui sont un peu en dormance, qui regardent de loin, qui ne sont pas trop branchés nouvelles technologies.

« (...) je voulais absolument avoir des données qui soient fiables pour pouvoir facturer, et pour que ce  soit vraiment juste. »

Et puis c'est moi qui les gère essentiellement, car je voulais absolument avoir des données qui soient fiables pour pouvoir facturer, et il faut vraiment que ce soit juste. Donc c'est pour ça que j'allais tous les jours dessus, pour bien vérifier, bien attribuer et bien mettre en place.

Comment la mise en place de Karnott avec vos 140 adhérents a été perçue et quelle a été votre démarche ? 

On a expliqué à nos adhérents très simplement par un courrier, notamment pour leur demander l'accès au code Telepac. Ces codes nous ont été mis à disposition par la chambre d’agriculture pour pouvoir récupérer leurs parcellaires. On leur a expliqué que c'était pour avoir une facturation qui soit plus juste, parce qu'on s'était rendu compte que nos anciens compteurs comptaient trop, soit pas assez, et ce n'était pas équitable.

Après le gros reproche qu’on nous a fait de ces outils-là, c'était que c’était plus pour fliquer les gens ; au début ils avaient peur qu’on les fliquent réellement pour savoir ce qu'ils faisaient, où ils étaient, s’ils travaillaient, et tout ce qui s’en suit... On verra leur retour quand on aura fait nos premières factures avec Karnott, car la répartition est beaucoup beaucoup plus juste puisque c'était vraiment très fiable. On travaille essentiellement aux hectares et à l’heure. Donc Karnott compte réellement le temps passé en parcelles en mouvement. Quand on travaille avec des heures ou avec la surface réellement travaillée en parcelle, on retrouve bien la surface déclarée sur la déclaration PAC. On va donc pouvoir réadapter justement toute notre facturation pour travailler vraiment à coût réel.

« On va donc pouvoir réadapter justement toute notre facturation pour travailler vraiment à coût réel. »

Quel est votre rituel Karnott : application mobile, ordinateur ? Vous vous connectez souvent ? 

J'utilise l'application mobile parce que je n'ai pas voulu l'installer sur mon ordinateur pour laisser un peu de travail aux autres. Je me connecte à peu près deux fois par jour en principe, à midi et le soir pour vérifier. Je vérifie essentiellement les outils qui tournent en premier, ensuite je vérifie que les parcelles et le travail faits soient bien attribués et qui correspondent bien à du temps passé en parcelles ou pas sur la route. Je ré-attribue aussi toutes les parcelles au fur à mesure. 

Selon vous, comment pouvons-nous nous améliorer ? 

Pour que ce soit parfait, mais c'est pas dans vos cordes ce serait d'avoir de meilleurs réseaux, on a des gros problèmes de réseau.... cela peut arriver qu'un Karnott peut ne pas émettre pendant plusieurs jours, même si les données ne sont pas perdues puisque Karnott enregistre tout. Voilé, on a ce problème, mais vous n’y pouvez rien.

Et pourquoi ne pourriez-vous plus vous passer de Karnott maintenant ?

Déjà, pour la localisation du matériel : pour savoir où il est exactement en temps réel quand on en a la possibilité, ça évite d’avoir à appeler souvent plusieurs personnes pour aller récupérer des choses. Et ensuite c’est l'enregistrement : le fait qu'il n’y ait plus de cahiers qui soient mouillés, qui se perdent... Avec Karnott tout est saisi, tout est prêt, tout est opérationnel. On a plus qu'à relever tout ça au coin de la cheminée, en fin d’année !

« L'enregistrement : le fait qu'il n’y ait plus de cahiers qui soient mouillés, qui se perdent... Avec Karnott tout est saisi, tout est prêt, tout est opérationnel. On a plus qu'à relever tout ça au coin de la cheminée, en fin d’année ! »

À propos du podcast #CulturesKarnott : Laura - coach client Karnott - présente le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectée. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.


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